Nos projets
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Marche des Parachutistes belges
Pierre Leemans Thulin 4/2013 La légende veut que, sommé de composer pour le lendemain la marche de la nouvellement créée Brigade parachutiste belge, Pierre Leemans ait repris des thèmes dans d’autres œuvres sur lesquelles il avait autrefois planché. Résultat : une thème de farandole carnavalesque, un autre de kolo (danse traditionnelle slave), et un trio que n’aurait pas renié Perry Como. Mais c’est beau !
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Moliendo Cafe
Hugo Blanco et/ou Jose Manzo Peroni Waremme (concert au Parc) 6/2013 Ca part d’un défi : lors du concert- barbecue, on ne jouera que des airs qui parlent de nourriture (trouvez-en d’autres dans ce répertoire). Et en deux répétitions, cet air mi-calypso, mi-salsa, qui fut interprété par de très grands (Placido Domingo, Ricardo Montaner, Paloma Berganza) sera intégré au répertoire, à la sauce Niran évidemment. Mais on ne sait toujours pas qui l’a réellement composé …
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The Music Man
[Extraits : L’arrivée du wagon – Avant que tu ne sois là – 76 trombones] Meredith Wilson, arr. Alfred Reed Jauche 12/2012 Comédie musicale élégamment rétro, à l’époque du rock, qui reçut un Oscar pour sa musique, The Music Man nous emmène dans un village du Far West au début du siècle dernier. Un petit medley avec le wagon de la Wells Fargo qui descend la rue principale, le grand air romantique sur le pont fleuri, et surtout la marche finale, interprétée dans le film par le marching band de l’Université de Californie, avec bel et bien 76 trombones en tête de cortège, plus de 1000 instruments en tout !
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Oblivion
Astor PiazzolLa, arr. Lorenzo Pusceddu Waremme (concert Haut Regard) 3/2013 Un hommage d’Astor PiazzolLa à ses compatriotes argentins, victimes de la dictature dans les années ’70. Le sentiment d’oppression est palpable, on peut même en tendant l’oreille entendre la police politique frapper à la porte. Une œuvre parlante très réussie.
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Rabbi Jacob
[Les danses ‘hassidiques] Vladimir Cosma Waremme (concert Haut Regard) 3/2013 Plongé dans un univers auquel il ne connaît rien, manquant confondre un chapeau avec un cake, au son d’une musique exotique, Louis de Funès apprend instantanément les pas d’une danse échevelée. Totalement irréaliste, mais un grand moment funésien. Et pourquoi des religieux très stricts dansent-ils ? Parce que montrer de la joie de vivre, quelque dure que soit l’existence, c’est témoigner de la gratitude à Dieu de leur avoir offert la vie. Belle philosophie !