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A Tribute to Edith Piaf
(Milord – Hymne à l’Amour – Mon manège à moi – La vie en rose) Arr. Robert Kernen Lancé pour les 50 ans de la disparition de la plus grande des petites, un medley difficile à placer, tant les airs sont connus. Personne ne pardonne un massacre quand c’est Piaf qui est en jeu. Le solo de l’Hymne à l’Amour est sans doute ce qu’un tubiste peut espérer de plus intense à jouer. Notre interprétation lors du concert de Printemps 2015 :
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Brel
(Les Flamandes – Madeleine – La valse à mille temps – Bruxelles) Arr. Dominique Wyckhuys Est-il possible d’interpréter l’inimitable ? Peut-être, à condition de ne pas vouloir faire aussi bien, et de prendre le parti de se décaler, ce que notre Chef n’a jamais hésité à faire. Un régal pour les trompettistes (avec sourdine et wah-wah) et pour les percus (avec clochettes, fouet, cor postal, crécelle et noix de coco). Et un bijou pour ceux qui regardent leur partition dans le détail : le détenteur des droits d’auteur sur les partitions de Brel s’appelle Editions Pouchenel (Polichinelle en bruxellois) …
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De l’étymologie des termes musicaux (2)
On se perd en conjectures sur le sens de cette demande récente d’un chef : J’ai besoin d’un double piano à eau. Soit il recherchait l’origine de l’expression « piano aqueux ». Soit ça a quelque chose à voir avec ceci : http://tvbruits.org/spip.php?article1649. Soit c’est pour aller avec le piano à vent récemment mentionné (lire ci-dessous). Ou plus prosaïquement il s’agissait en réalité de la lettre O dans le découpage de la partition.
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De l’étymologie des termes musicaux
Certains morceaux nécessitent une technique de prise de souffle bien au point. D’où ce conseil du chef : Joue bien les croches sur le temps, sinon tu n’auras plus le temps de respirer. Une voix dans le fond de la salle : C’est pour ça que quand on la joue après on appelle ça une syncope ?
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Carnaval
L’EIW participera au Carnaval de Waremme, le dimanche 9 mars à partir de 14 heures. Rendez-vous dans les rues !